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il y a 8 ans
Dans cette administration où je travaillais, les journées étaient relativement monotones. Ma seule satisfaction en me rendant au travail était ma collègue Nicole, une quadragénaire dont les minijupes et les talons aiguilles portés quotidiennement faisaient beaucoup jaser dans le service.
Son visage, avec des cheveux coupés court, n'était pas spécialement joli mais ses longues jambes gainées de collants fins m'excitaient terriblement et pas un jour ne se passait sans que je me masturbe en pensant à Nicole. Généralement, c'était le soir en rentrant chez moi, mais il arrivait aussi, quand Nicole était vêtue limite putain, que je ne puisse attendre et que je sois obligé de me soulager entre midi et deux dans les toilettes de ma boîte.
Naturellement, je tentais régulièrement de me rapprocher d'elle, espérant rentrer dans son cercle d'intimes. Ce n'était pas facile car Nicole était d'un abord assez froid. D'ailleurs, au boulot, elle n'avait qu'une seule et véritable amie, en la personne de Gisèle, une femme plutôt vulgaire qui me répugnait littéralement. Mais Gisèle et Nicole étaient cul et chemise. A tel point que certaines mauvaises langues les surnommaient "les gouines".
Un après-midi, alors que j'avais emprunté les toilettes des femmes, étant donné que le côté hommes était provisoirement indisponible, les deux amies étaient rentrées pour se remaquiller et j'avais surpris une conversation des plus croustillantes. Nicole racontait à Gisèle le week-end qu'elle venait de passer avec son mari.
Elle avait acheté un collant ouvert pour lui faire plaisir car il trouvait que ça faisait "bien salope".
Ensuite, ils avaient fait une petite balade en voiture. A la demande de son mari, Nicole avait relevé sa jupe au dessus du collant pour que les camionneurs qu'ils dépassaient n'en perdent pas une miette. Puis, ils avaient bifurqué vers un bois où monsieur s'était vidé dans la bouche de madame.
A ce moment du récit, Gisèle ne put réprimer un "oh" de désapprobation ; en 20 ans de mariage, elle avait toujours refusé d'avaler le sperme de son mari. Une fois rentrés à la maison, ils avaient pris un apéritif et, dès le deuxième verre, monsieur avait retroussé la jupe de madame pour la prendre immédiatement en levrette. Cela avait duré un bon moment avant que le mari éjacule pour la deuxième fois de la journée, cette fois-ci dans les entrailles de Nicole. Ils allèrent se coucher. Il lui demanda de garder son collant pour la nuit.
Le lendemain matin, au réveil, il la prenait à nouveau. Pendant plus d'une heure, dans toutes les positions, tout en l'abreuvant de mots obscènes.
Enfermé dans les toilettes, je me faisais le plus discret possible, et, quand les deux femmes furent enfin sorties, je me branlai frénétiquement en imaginant Nicole en train de se faire limer comme la dernière des salopes par son mari.
Depuis cette anecdote, j'étais persuadé qu'il y avait "possibilité" avec Nicole, et je redoublai d'efforts pour gagner son amitié.
Au bout de quelques semaines, ma stratégie fut récompensée : un mardi matin, Nicole arriva de mauvaise humeur au boulot ; son ordinateur était, d'après ses dires, infecté par un virus. Je demandai à Nicole de me décrire les symptômes et, comprenant qu'il n'y avait rien de très méchant, je lui donnai la solution pour y remédier. Mais c'était du chinois pour elle, aussi me proposai-je de le faire moi-même. En fin de journée j'étais à son domicile pour régler le problème. Cela ne me prit que quelques minutes. Son mari n'était pas encore rentré, et même si l'occasion était bonne pour faire des avances à Nicole, je restai discret, par timidité peut-être.
Le lendemain, Nicole me transmit une invitation à dîner de la part de son mari pour me remercier. J'acceptai.
C'était un samedi soir. Je fis la connaissance de Pierre, le mari, un bon vivant taillé comme un rugbyman et qui n'avait pas sa langue dans sa poche.
Nicole était encore plus sexy qu'à l'ordinaire : minijupe rouge moulante et chemisier très décolleté. Je ne m'étais jamais rendu compte à quel point sa poitrine était volumineuse. Comble du bonheur, elle avait mis des bas de couleur chair, et je voyais même le relief d'un porte-jarretelles sous sa jupe !
Pierre était particulièrement grivois. Il m'interrogeait sur ma vie sentimentale, puis sur ma vie sexuelle. Certaines de ses questions étaient presque embarrassantes. Mais j'étais aux anges en le voyant peloter les cuisses de sa femme au travers le fin voile de nylon. S'ensuivit un dialogue qui allait être le tournant de cette soirée :
Pierre: Elle a de belles jambes, ma coquine, hein ?
Nicole: oh! Arrête.
Moi (gêné): Euh oui...
Pierre: Elle doit faire tourner les têtes au boulot ?
Moi: Euh oui, c'est sûr.
Pierre: Et toi, elle te fait fantasmer un petit peu, non ?
Moi: ... oui, bien sûr (je repris une gorgée pour me donner du courage)... et puis, ce soir, elle a mis des bas, non ?
Pierre: Ah! ah! Avec tes airs timides, t'en perds pas une miette. T'aime ça, les femmes qui mettent des bas ?...
Nicole: Oh, arrête, t'es lourdingue.
Moi: ...oui, qui n'aimerait pas.
Pierre: Ben, allez, viens voir de plus près.
Ainsi, au bout de quelques minutes, Nicole fut entourée par moi et son mari, sur le canapé.
Pierre caressait les cuisses de sa femme de plus en plus haut, remontant au dessus des bas et laissant même apercevoir les attaches du porte-jarretelles. Une ultime fois, Nicole lui reprocha d'être un sale vicieux, mais elle abandonnait peu à peu sa résistance.
Je bandais comme jamais je n'avais bandé. Ne voulant pas commettre d'impair, mais conscient qu'une telle occasion ne se présente pas souvent, je m'enhardissais et posait à mon tour la main sur la cuisse de Nicole. Hélas, elle me repoussa. La première fois du moins car, sentant qu'elle se laissait aller de plus en plus aux caresses de Pierre, je tentai ma chance à nouveau. Là, Nicole ne broncha pas. L'homme et la femme se mirent à se prendre la bouche passionnément. Entre deux baisers, il lui murmurait des choses à l'oreille. Et, quelques instants plus tard, je sentis la main de Nicole palper mon sexe au travers mon jean. Preuve qu'elle avait perdu toute inhibition, elle me lança : "Mais dis donc, toi, tu bandes dur !" Son mari surenchérit, la voix tremblante d'excitation : "hummm, mais c'est normal, ma chérie, avec une belle femme comme toi..."
Je déposai des baisers amoureux sur les cuisses de Nicole, léchais ses bas, m'enivrant de leur texture et de leur odeur. Entre deux caresses, je demandais à mes hôtes s'ils avaient déjà eu des expériences à trois. Non, c'était la première fois. Ils étaient bien allés dans un club échangiste, un soir, mais madame avait décliné les invitations des mâles présents. En revanche, ils avaient fait l'amour devant ces messieurs qui se tripotaient.
A son tour, Pierre voulut savoir si je me branlais en pensant à sa femme. Je lui avouais que oui, que j'avais toujours été excité par ses jambes.
Le cochon, ensuite, se déshabilla et présenta sa queue à la bouche de son épouse. L'animal était bien membré ! La nature m'avait bien doté, mais elle avait été encore plus généreuse avec Pierre. Ce qui n'empêchait nullement sa femme de l'emboucher jusqu'à la garde.
"T'en fais profiter le collègue aussi ?" dit Pierre.
Bien que ce fût une grande première pour elle, je dois dire qu'elle suçait ma pine avec autant de dévotion que celle de son mari.
"Vas-y, suce le bien, ma chérie... tu m'excites comme ça..." Tout en encourageant sa femme à me "pomper comme une salope", Pierre la fit mettre en position de levrette. Il commença à la pénétrer doucement puis se mit à saillir sa chatte plus franchement. Sous ses coups de boutoir, Nicole émettait de petits gémissements dont la vibration, le long de ma queue, me provoquait une sensation inédite et très agréable. Avec ma main, j'agrippai la cuisse de Nicole, griffai le nylon de son bas qui plissait sur sa jambe. Tout cela était tellement excitant que je ne pourrais sans doute me contenir bien longtemps :
"Ahhh, Nicole, je vais bientôt jouir..."
"mmm... oui, mais pas dans ma bouche, c'est réservé à mon homme."
"Non... je voudrais juter sur tes bas..."
Pierre réagit aussitôt :
"Ah oui, c'est bien cochon ça..."
Il sortit de la chatte de sa femme, lui demanda de se mettre sur le dos et de se caresser pendant qu'on se branlait au dessus de ses cuisses.
Pierre continuait à couvrir sa femme de mots crus pour accélérer la jouissance :
"J'adore quand tu t'habilles en pute... ils rêvent tous de te tringler au boulot... ils voudraient bien se taper la petite pute à Pierrot... si ça se trouve tu m'as déjà fait cocu, salope... allez continue de t'astiquer la cramouille, fais-nous voir comme t'es une pute..."
Nous éjaculâmes presque en même temps, souillant de sperme les bas et le porte-jarretelles de Nicole.
Puis, comme si de rien n’était, nous passâmes à table. "On va pas s'laisser abattre", rigola Pierre.
Le lundi suivant, au boulot, je fus d'une discrétion exemplaire, ce que Nicole apprécia. Cette attitude me permit sans doute de revoir occasionnellement mes deux amis. Chose plus surprenante : il arrivait que Pierre m'appelle de temps en temps pour parler de sa femme. Il voulait savoir comment j'aimerais la baiser. De temps en temps, aussi, il m'envoyait des photos de Nicole en lingerie, à l'insu de cette dernière.
ADDICT
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